Unboxing de la Cintiq Companion
M.Wacom nous a envoyé un colis pour quelques mois. Et surprise, ça marche sur Windows. Même si on n’y connait rien (en windows), on a quand même résussi à faire la mise à jour PC, puis 8.1 (on a une nouvelle calculatrice entre autres, merci Microsoft). vous avez deviné qu’il s’agit du modèle Cintiq Companion fonctionnant sur Windows 8. Il s’agit du modèle 256G.
On a donc décidé d’écrire un billet chaque semaine sur la Cintiq Companion, qui marche sur Windows 8… Microsoft… Cela nous évite de faire un mini test, 2 mois après. Comme ça, vous découvrirez l’engin en même temps que nous.
1er étape : le Unboxing. Petite parenthèse ‘(‘ : Vince a retrouvé des photos de l’unboxing de l’Intuos 3, qui avait été mis en ligne sur l’ancien site de WacometmaPomme. Intuos 3, c’est 2004. C’est à dire qu’on a été les précurseurs du Unboxing. De toute façon, à l’époque, il n’ y avait que W&mP qui parlait de tablette. Pas compliqué. On avait quasiment oublié cette série d’images. On vous mettra en ligne les photos dans un prochain GéGé Revival.
Unboxing de la Cintiq Companion. Tout de suite, dans les mains, la boîte est épaisse et lourde.
Après retrait du plastic (sinon avec le soleil, on ne voyait rien) : la Cintiq Companion… Elle ressemble forcément à une Cintiq 13HD. Dans les mains, elle a son petit poids, car, on le rappelle pour les noobs, il s’agit d’une tablette dotée d’un système desktop, et de caractéristiques d’un laptop Premium avec la technologie d’une Cintiqn touch, c’est à dire un écran tactile (doigts) avec une surface active de la taille de l’écran (1920×1080) pour un stylet avec une reconnaissance de la pression (2048 niveaux) et de l’inclinaison. On verra cela plus précisément dans les billets suivants. Donc dedans, vous avez une carte graphique, un DD, etc… D’où le poids.
À l’intérieur, car sous la Cintiq Companion, ils ont fait fort car ils ont réussi à tout caser dans un espace restreint. On avertit tout de suite, il faut s’entrainer pour tout remettre dans l’ordre sans tout presser maladroitement. C’est comme remettre une piscine gonflable dans son petit carton. On a un reposoir qui s’incline sur 3 niveaux; on a la sacoche de superbe facture avec une fermeture aimantée et un emplacement pour le coffret du stylet; les câbles éléctriques avec prise Europe/USA et le boîtier d’alimentation qui est petit, un coffret avec fascicule (le guide de mise en route – sinon pas de CD car pas de Spin), une housse pour le coffret du stylet et enfin le stylet, qui est le Pro Pen, dans son luxueux écrin.
Le Pro Pen en solo. Dans son coffret. On note qu’il y a 2 mines à ressort (les blanches) et 9 mines de recharges + celle sur le stylet. On peut voir les anneaux de couleur avec la bague qui l’entoure.
C’est fini, pour ce premier billet. On vous a évité les photos de côté et de dessous de la boîte.