Bamboo Spark Unboxing
Aujourd’hui, c’est « on déballe le Bamboo Spark ». Plus tard on fera un mini test du Bamboo Spark. Rhonda nous rappelle qu’elle attend toujours le mini test de la Cintiq Companion 2. En ce qui concerne le Bamboo Spark, on a un peu tout dit, mais cela permettra de confirmer ce que l’on pense de l’objet. Pour mémoire, le Bamboo Spark est un calepin (smart folio) destiné à enregistrer vos écrits en format numérique. En gros, vous écrivez avec le stylet du Bamboo Spark sur un carnet de papier (vous utilisez du vrai papier et vous écrivez réellement à l’encre sur votre support). Ce carnet fonctionne en étant inséré dans le Bamboo Spark. Avant cela, vous synchronisez votre Bamboo Spark par bluetooth à un autre appareil (smartphone ou tablette multimédia) grâce à une app dédiée iOs/Android. Ainsi ce que vous écrivez se retrouve sur du papier réel et sur un document numérique simultanément.
Le Bamboo Spark est orienté vers le texte et pas les dessins en priorité, même si vous pouvez faire des gribouillis. L’app iOS/Android permet de manière limitée une reconnaissance d’écriture (limitée car il faut payer après).
C’est parti. La boîte est magnifique.
Derrière, vous avez des éléments en relief, qui, on le doute, représentent les textures du Bamboo Spark. On rappelle qu’y a 3 modèles de Bamboo Spark (160€), un avec une partie gauche destinée à accueiller un iPad Air 2, un autre avec une autre tablette multimédia de petite taille et un dernier où on peut caser un peu tout (papier et/ou smartphone). C’est le dernier modèle que nous avons : le « with gadget pocket ».
Dès qu’on ouvre la boîte, c’est encore plus beau.
Côté boîte, design et tout le tralala, c’est vraiment élégant. À l’intérieur du fascicule, on trouve le mode d’emploi, un câble USB (micro-Usb) et 2 recharges. On rappelle, il s’agit de recharges d’encre standard. La troisième doit se trouver sur le stylet du Bamboo Spark. On a aussi une bague-pince pour extirper les mines – c’est hérité des Grip Pen et Pro Pen.
Petit coup d’oeil pour le mode d’emploi. Que des illustrations.
On ouvre enfin le Bamboo Spark qui a toujours son revêtement et ses accessoires de protection. C’est assez étonnant, car on voit bien c’est du plastic mat, mais il y a un gros boulot de design; il y a beaucoup de combinaisons de différents types de matière. L’intérieur ressemble à de la feutrine et l’extérieur conjugue des élements en relief. Vous avez aussi de la couture pour faire « traditionnel, type couverture en cuir ». On peut constater que le stylet s’accroche sur la partie centrale et surtout dépare beaucoup avec le smart folio. On verra plus tard qu’il n’est pas d’une belle qualité et apparait très cheap par rapport à l’ensemble.
Fourni avec, un calepin de 30 pages dont la 1er page est déjà marquée avec le mode d’emploi pour l’app… Donc plus que 29 pages. Le dos du calepin s’accroche sur une large fente centrale sur la partie gauche du smart folio.
L’extérieur est très élégant. On voit bien que c’est calculé pour paraître classe quand vous le sortez. Les couvertures allient une surface type feutrine plus claire avec des zones à relief qui vibrent à la lumière. La finition du plastic est nickel. On comprend pourquoi, il était un moment, dans la vitrine de Colette. Le système de fermeture est simple, limite cheap, mais ça ferme bien. Par contre si un gamin (ou un chien lol) s’amuse à étirer la sangle caoutchouteuse, ça peut casser facilement et là, on ne voit pas trop comment la remplacer.[Maj] : on est mauvaise langue – sur le mode d’emploi, il est noté qu’on peut la remplacer. Et boum sur le nib.
Sur la partie droite on peut voir la connexion micro-USB et le bouton on/off sur les tranches en haut et en bas.
Zoom sur certaines parties. On l’écrit tout de suite. L’élément sur la photo ci-dessous en haut à gauche,.. Heu, on ne sait trop à quoi ça sert. C’est aimenté. Pour bien bloquer des feuilles et éviter qu’elles bougent dans tous les sens? On va enquêter. On note l’accroche du stylet et le fameux bouton qui permettra d’enregistrer numériquement vos écrits. On note que ce bouton fait « très Touch ID ». L’intérieur, tout en imitation feutrine, accroche au toucher. Ça fait très élégant; les coutures aident à l’effet. Le logo Bamboo est présent à l’intérieur (tout comme en extérieur) en incrustation.
On termine par le stylet, qui fait très très cheap, renforcé par l’effet qu’il apparait épais par rapport à un stylo normal et qu’il est pourtant très léger dans les mains. La couleur et la matière du plastic sont totalement différentes. C’est assez étonnant. Le bouchon et le bout de plastic au bout sont de vraiment moins bonne facture que l’ensemble. La pointe à l’air, on a la même impression; la partie plastic noir fait qualité bas de gamme. On n’a pas regardé quel était le prix de ce stylet seul (eStores fermés), mais on pense qu’il ne doit pas coûté cher, ce qui explique peut-être l’aspect 1er prix.
En résumé, tout est magnifique, excepté le stylet qui donne l’impression que ce ne sont pas les mêmes personnes qui ont fait le smart folio et le stylet, comme si ce dernier avait été fait par les ingénieurs et pas les designers. 🙂 L’intérieur et l’extérieur sont vraiment beaux. Le seul reproche, c’est que ça fait un peu trop cadeau à offrir (réaction de geek). L’objet fait avant tout très séduisant. Comme critique, on a vu pire. Plus tard, on verra comment ces belles surfaces vont subir leurs premières éraflures et rayures. Et bien sûr, le plus important, c’est de savoir comment ça fonctionne et surtout est ce que ça fonctionne bien?