Inkling : le plein de photos

Inkling sous toutes ses coutures avec beaucoup de photos.

Inkling est de sortie, en dehors de sa boîte. Mais il est fermé.

Inkling ouvert. On retire le stylet.

Le boîtier Inkling ouvert sans le stylet, vu de côté.

Le stylet est un peu gros, mais est très léger. La prise en main est très agréable malgré cette épaisseur.

Gros plan de l’avant du stylet.

Le « How To » pour changer la mine… Très simple à faire : il suffit d’enfoncer la mine dans un orifice, d’incliner le stylet et de tirer par le haut; la mine se détache facilement.

Après l’avant du stylet, voici l’arrière avec son ouverture, qui permet d’accéder à la petit pile rechargeable. Noter la couleur de la pile en accord avec les nouvelles Bamboo Pen&Touch. Le stylet est actif avec son voyant vert. Dès qu’il y a un clic, un voyant rouge se marie au voyant vert.

Pour changer, petite vue du fascicule qui nous explique comment emboîter le récepteur dans le réceptacle général de l’Inkling. On rappelle : pour recharger le stylet et le récepteur, il faut tout ranger dans  le réceptacle et utiliser le câble Usb.

Le récepteur en vrai. Dès que le récepteur est actif, un voyant rouge s’affiche. On peut voir les 2 boutons : l’activation et la création de calque. La pince très tenace permet d’accrocher une faible épaisseur de feuille.

Plusieurs étapes : un dessin sur papier, la connexion par le câble Usb sur un ordi (ou une Cintiq 24HD), l’import dans Inkling Sketch Manager. Quand le soft s’ouvre, il vous demande où le récepteur  a été positionné (haut, bas gauche, droite, haut-gauche, haut-droite, bas-gauche, bas-droite), puis il importe le ou les calques dans le sens choisi.

Si vous dessinez avec un seul stylet, les 2 récepteurs captent chaque tracé. Par contre, si vous avez 2 stylets actifs, cela ne marche pas.:)

Infos récoltées sur l’utilisation du stylet avec le récepteur :

– Dès que le récepteur repère un tracé, le voyant devient vert.
– Le stylet se met en marche en faisant juste une pression de la mine sur votre support.
– Il faut une marge de 2 cm entre le tracé et le récepteur. Aucun tracé n’est reconnu si vous collez le stylet au récepteur.
– Il semble que si vous dessinez normalement ou rapidement, tout est ok. Par contre, si vous êtes trop lent, il semble que le récepteur oublie des tracés.
– La création de calques est vraiment facile. il suffit de cliquer sur le bouton « calque ».
– Il faut absolument ne pas faire bouger le récepteur, sinon vos tracés enregistrés seront déplacés. C’est pour cela que la pince du récepteur est très ferme. Si vous êtes en zone de turbulence (dans une zone instable, sur une feuille qui bouge, etc…), il ne faut pas s’étonner que votre importation de tracés dans Inkling Sketch Manager soit chaotique.
– Créer des calques, c’est facile. Mais comment créer un nouveau dessin? Les avis divergent. Il suffit d’éteindre et d’allumer de nouveau le récepteur ou bien il suffit de desserrer la pince du récepteur.
– Le meilleur export vectoriel est celui d’Illustrator, car il garde le tracé médian. Chaque point gère l’épaisseur. Lors de l’importation, il ne faut pas plusieurs tracés ou plusieurs points pour le rendu d’une tâche informe (un disque mal fait par exemple). On est plus proche d’un rendu de l’outil Forme de tâche (comme sur Freehand jadis) que sur le tracé de l’outil Pinceau dans Illustrator.
– Sur le dessin d’une ligne continue, l’importation dans Inkling Sketch Manager affiche beaucoup de points, qui sont facilement malléables.
– On peut faire du dépassement de fonction avec Inkling, mais je n’en parlerai pas… Si, j’en parlerai, quand des petits curieux feront des découvertes.